20 octobre 2004
Bon. Alors juste un ptit...
Apparement,
quelques carnassiers de posts frais sont toujours à l'écoute !! Alors
voila, je reprend mon qwerty pour ce post qui se doit de redéfinir
quelques petites précisions.
Tout
d'abord, pour les lecteurs qui en sont restés au 14 juin (je suis
scincèrement désolé d'avoir lachement abandonné, mais j'ai pas que ça à
foutre! Pourquoi je suis là alors ?!!Hum!), certaines erreurs du posts
précédent sont à reprendre: En effet, je suis toujours en Italie. Et
non, aucun italien ne m'a séquestré ! Dommage ! Il n'y a pas eu de
grèves non plus, ou fermetures d'autoroutes. Oui , je suis resté de mon
plein gré ! Ben quoi, elles sont jolies les filles de mon pays (Ah!
merde, c'est pas le mien !). Alors, voila, pas mal de choses ont
changé: de nombreux amis sont partis, d'autres sont arrivés, les
week-ends sont devenus plus difficiles, pour le porte-feuilles et pour
ma tete, mais surtout, maintenant je communique en italien, et ça,
c'est d'la balle !! Mais où sont les erasmus, que je donne quelques
cours....Enchainons donc sur le coté festif de la chose. Ces derniers temps, cela se réduisait au week-end, avec je dois l'avouer, quelques difficultés à m'en remettre pour le lundi. Mais, là, je ne controle plus la chose, le flot erasmus m'a totalement submergé: j'en suis meme arrivé à essayer de parler allemand, instants inouis depuis ma première leçon (d'allemand, en 6eme !)!
Faisons un petit arret erasmus, normal me direz-vous. Cette année se révele plutot fructueuse: toujours beaucoup d'espagnols, mais la
nation qui sort de son trou, est l'allemagne, qui a brulé son quota ! Reste toujours quelques polonais et finlandais !! Voila, voila ! j'ai oublié de préciser, le taux ragazze/ragazzi culmine à environ 85, 90 % ! Rien que du bonheur ! Alors, y sont où ces cours ?
Pour en finir avec ce post, qui à ma grande surprise s'avère plutot imposant, quoi de mieux que de vous parler de ma casa à moi, qui reste la meme qu'avant, mais en plus petite. Mais rassurez-vous, je ne me sens pas tout seul: une charmante demoiselle que je croise devant la porte de mon immeuble, les soirs où je rentre tard, me lance un "CIAAOOO BELLOO" si sympatiquement grave, que j'en oublie ses énormes et rigides gambettes. Ce ciao me transporte jusqu'à mon lit (je vous vois venir, dans vos ptites tetes...), où enfin je peux penser à ma douche du lendemain. Il arrive cependant que l'eau reste toujours froide...
